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Counterculture --- Counterculture. --- History.
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The earliest novel in the group, The Sheltering Sky, is also the richest example of how the postwar counterculture absorbed influences from French culture, a significant source of inspiration for these writers, although Bernardo Bertolucci's film adaptation foregrounds only one such influence, offering a visual language derived from the novel's existentialist surface narrative while revising the encounter with the cultural other in an effort to make it palatable to the sensibilities of a later age. The main task of the chapter is therefore to recover the novel's surrealist dimension, an aspect of the book that has never been fully expounded. This concealed dimension takes the form of a poetic imagery that stages a dialectic of purity and abjection, a destabilizing counter-narrative that the chapter analyzes with the help of ethnographic and psychological parallels.
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The earliest novel in the group, The Sheltering Sky, is also the richest example of how the postwar counterculture absorbed influences from French culture, a significant source of inspiration for these writers, although Bernardo Bertolucci's film adaptation foregrounds only one such influence, offering a visual language derived from the novel's existentialist surface narrative while revising the encounter with the cultural other in an effort to make it palatable to the sensibilities of a later age. The main task of the chapter is therefore to recover the novel's surrealist dimension, an aspect of the book that has never been fully expounded. This concealed dimension takes the form of a poetic imagery that stages a dialectic of purity and abjection, a destabilizing counter-narrative that the chapter analyzes with the help of ethnographic and psychological parallels.
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Qu’est-ce qu’une contre-culture ? Comment interpréter le sens général des contestations et des ruptures culturelles de la seconde moitié du XXe siècle ? Comment reconstituer ces tendances et ces styles d’expression qui, dès les années 1950, ont bouleversé les mentalités? Les discours sur la notion de culture, sur les altérations qu’elle subit, sur la diversité des influences qui la transforment, abondent ; mais ces discours font peu de place à la notion de contre-culture. Il est pourtant impossible d’en ignorer les innombrables expressions : Beat Generation, pop philosophie, rock culture, révolution psychédélique, mouvement punk, new wave, black metal… En insistant sur la richesse et l’éclectisme de ces manifestations, cet ouvrage montre que les contre-cultures entendent porter la révolution dans la vie quotidienne. Une réflexion novatrice sur un phénomène pluriel, porté par le désir d’une transformation radicale de la société.
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« Ce n’est qu’un début, continuons le combat ! » Après Mai 68, et malgré la répression policière, les groupuscules gauchistes se recomposent et tentent de poursuivre l’aventure révolutionnaire. Parmi eux, les étudiants de Vive la Révolution détonnent. Ces maoïstes tendance libertaire, ou « mao spontex » comme on les qualifiera, militent auprès des ouvriers, notamment immigrés, tout en étant fortement influencés par les mouvements radicaux américains. Leur journal, rebaptisé Tout !, quinzomadaire grand format aux couleurs vives ayant Jean-Paul Sartre pour Directeur de publication, cherche à fomenter une révolution à la fois politique et culturelle. Il ouvre ses colonnes aux mouvements et luttes antiautoritaires qui foisonnent : libération des femmes, antipsychiatrie, combats des homosexuels, jeunes en colère ... Bien qu’éphémère, cette extraordinaire expérience d’un journal foutraque se trouve au carrefour de trois courants : gauchisme, nouveaux mouvements sociaux et contre-culture. Pour la première fois racontée, cette histoire montre comment Tout ! a concentré de façon explosive ces influences, qu’il a agrémentées de slogans percutants et d’un graphisme éclatant, pour devenir le fer de lance de la presse alternative
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Une synthèse interdisciplinaire démontrant la diversité et la complexité des mouvements alternatifs et contestataires des années 1960 et 1970 à travers le monde et dans tous les domaines : littérature, art, politique, religion, etc. Les universitaires interrogent les processus de formation, l'internationalisation des idées et la destinée controversée des contre-cultures. ©Electre 2016
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Ce livre est un témoignage remarquable de la façon dont la révolution informatique personnelle a émergé de la contre-culture de San Francisco au début des années 1970. Ce livre ne contient aucune flatterie et certainement pas des louanges à l’égard d’un dénommé Steve Jobs. Oui, les hippies nous ont donné l’ordinateur personnel, mais leur “révolution” s’est-elle vraiment déroulée comme ils l’avaient prévu ? Theodore Roszak, l’homme qui a inventé le mot et l’idée de « contre-culture », nous propose ici un petit livre éloquent et très bien argumenté exposant le lien entre la contre-culture des années 1960 et l’avènement de la cyberculture dans les années 1970 et 1980. Discours prononcé en 1985 dans le cadre de la conférence Alvin Fine à l’université d’État de San Francisco, Du satori à la Silicon Valley présente tous les avantages d’une présentation orale : il s’agit d’un texte très court qui offre une vision claire des liens entre la mouvance hippie tournée vers les psychédéliques de l’ère Haight-Ashbury et l’essor de la culture high-tech informatique — autrement dit, des liens entre la contre-culture et la naissance du capitalisme technologique de la Silicon Valley. Toute personne intéressée par l’histoire du mouvement hippie, de la contre-culture ou de la genèse des ordinateurs devrait lire ce livre. Roszak souligne que le mouvement contre-culturel était composée de deux ailes, avec d’un côté les « réversionnaires » — les hippies qui aspiraient au « retour à la nature », à la vie communautaire, ancrée dans la terre, artisanale, autonome, et qui décriaient sincèrement le complexe militaro-industriel — et de l’autre les technophiles — celles et ceux qui aspiraient à une vie plus douce grâce aux drogues psychédéliques de synthèse et s’imaginaient que le développement du numérique, de l’informatique et de la haute technologie en général allaient nous propulser dans un monde meilleur. Un camp l’a emporté, l’autre a perdu. Nous vivons actuellement avec les conséquences de ces victoires et de ces défaites, et ce pour les années à venir.
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